Arzua - Saint-Jacques-de-Compostelle
Et voilà, voilà, Saint-Jacques, j'y suis. Je suis à Santiago. J'ai marché durant deux mois, ce fut dur et doux à la fois, comme je le souhaitais et me voici arrivé à Saint-Jacques entier. Actuellement dans un restaurant avec toute l'I.T rassemblée, restrouvée devant la cathédrale. Je suis arrivé comme je suis parti, seul, ayant semé mes deux compagnons en court d'étape. Arrivé devant la cathédrale, j'ai vu des pélerins exténués, certains dormant dans leur sac de couchage, d'autre en extase devant le monument tant convoité ou devant le chemin accompli. J'ai essayé de r'ealiser mais ce fut difficle, J'ai posé mon sac et me suis blotti contre lui, contre tout ve que j'ai depuis deux mois et j'ai contemplé cette beauté de l'humanit'e qu'est la cathédrale de Santiago. Séance photo bien sûr. J'ai été chercher ma compostella, diplôme du pélrin, un abri pour dormir puis je suis retourné devant la cathédrale, En tant que pélerin qui a tant marché pour atteindre la ville Sainte, on se sent comme chez soi sur le parvis. On y mange, on y squatte, on y retrouve des pélerins, on y fume, on y dort. Pour le futur proche, c'est le Cap Finisterre, aller au bout de l'ancien monde. Toutes les prières de nos chemins ont été déposé à l'intérieur de la maison de Saint-Jacques. Ce fut un moment intense. Nos chemins ont cette fin qui m'angoisse. Tant de belles choses ici même si le pélerinage devient un objet commercial avec tous ces produits dérivés. Et je ne saurais vous dire si la lumiére est là, allez savoir pourquoi.