« Après des années de recherche, un chercheur avait reçu le conseil de se rendre dans une grotte où se trouvait un puits. « Demande au puits ce qu’est la Vérité, lui avait-on dit, et le puits te le révèlera. »<br /> Ayant trouvé le puits, le chercheur lui posa cette question des plus fondamentales. Et des profondeurs lui parvint cette réponse : « Va au carrefour du village, tu y trouveras ce que tu cherches. »<br /> Fébrile et rempli d’espoir, l’homme court au carrefour où il ne trouva que trois boutiques assez banales. Dans l’une, on vendait des pièces de métal, dans une autre du bois et dans la troisième des fils de métal. Ni rien ni personne ne semblait y avoir là beaucoup de liens avec la Vérité.<br /> Déçu, le chercheur retourna au puits exiger une explication, mais tout ce qu’il entendit, ce fut : « Tu comprendras plus tard. » En réponse à ses protestations, tout ce qu’il obtint, ce fut l’écho de ses propres cris. Indigné d’avoir fait rire de lui – ainsi pensait-il à ce moment -, le chercheur poursuivit ses explorations, en quête de la Vérité. Avec les années, le souvenir de son expérience au puits s’estompa jusqu’à ce qu’un soir, alors qu’il se promenait au clair de lune, le son d’une musique jouée à la cithare attirât son attention. C’était une musique merveilleuse interprétée avec beaucoup d’âme et une grande maîtrise. <br /> Profondément ému, le chercheur de vérité se dirigea vers le joueur de cithare. Il regarda les doigts courir sur les cordes. Il prit conscience de la cithare elle-même. Soudain, il poussa une exclamation de reconnaissance : la cithare était composée de cordes, de pièces de métal et de bois, tout ces éléments qu’il avait vus dans ces trois boutiques et qu’il avait crus sans signification particulière.<br /> Il comprenait enfin le message du puits : on nous a déjà donné tout ce dont on avait besoin ; notre tâche consiste à assembler le tout et à s’en servir de façon appropriée. Rien n’a de signification aussi longtemps que nous ne percevons qu’en fragments isolés. Mais aussitôt que les fragments constituent une synthèse, une nouvelle entité surgit, entité dont nous n’aurions pu prévoir la nature en ne considérant que les fragments. »<br /> Piero Ferucci – La psychosynthèse.

coucou mon tit dam's<br /> voici enfin des nouvelles et l'adresse de ton blog...<br /> je te souhaites plein plein plein de courage mon tit dam's je t'admire car tu as un sacrès courage. J'espère que tu vas revenir avec des réponses à tes questions et grandi par tout ce que va t'apporter les rencontres que tu vas faire que ça soit avec toi même ou avec les autres.<br /> tu mank et j'espère te revoir une fois le chemin parcouru<br /> plein de bisous <br /> ta tite pasc'